L’eau tient une place particulièrement importante dans notre vie ; on la retrouve en effet dans toutes les activités qui rythment notre quotidien. Ainsi, pour avoir une bonne gestion de cela, le réseau d’eau pluviale donne vie de nos besoins. C’est aussi d’améliorer le cadre et la qualité de vie de nos désirs. Ce plan est donc une réponse aux multiples défis de notre temps. Le principe général est qu’une fois les usages essentiels de l’eau pour les besoins de subsistance couverts, il convient d’orienter la ressource vers les usages les plus productifs. Il est nécessaire d’agir sur le bon usage des bâtiments pour réduire les consommations d’eau, limiter les eaux grises et alléger la charge polluante à traiter dans le réseau d’eau pluviale.
Faisons de la pluie une ressource grâce au réseau d’eau pluviale
Être concerné par la gestion des eaux de pluie, est souvent perçu comme une contrainte. Le réseau d’eau pluviale est en réalité une ressource précie
use à intégrer dans les projets d’aménagement de façon équilibrée et durable, en favorisant son infiltration au plus près de là où elle tombe. Cela permet la création d’espaces de qualité multifonctionnels, l’amélioration du cadre de vie, lutte contre la saturation des réseaux d’assainissement, prévention et gestion des inondations, espaces favorables à la biodiversité, lutte contre le cadre du réchauffement climatique, réalimentation des nappes phréatiques. Cette gestion intégrée du réseau d’eau pluviale est en outre économiquement plus intéressante que des équipements lourds de stockage et de réseaux souterrains. Les principes à retenir pour mieux gérer les eaux de pluie c’est d’infiltrer la pluie plutôt qu’imperméabiliser les sols, de penser la gestion des petites pluies, les plus courantes, dans tout aménagement et de rendre en considération toutes les intensités de pluie.
Le réseau d’eau pluviale : limiter la pollution des milieux
Les eaux de pluies ne sont pas polluées en elles-mêmes mais par la contamination qu’elles accumulent au fil de leur ruissellement d’après l’étude du réseau d’eau pluviale,. Par conséquent, pour limiter la pollution des milieux qu’elles peuvent provoquer, l’objectif premier est de respecter les principes de bonne gestion des eaux pluviales. Elles peuvent alors être gérées et infiltrées sans danger pour l’environnement. Seules les pollutions conséquentes et continues des eaux pluviales nécessitent de prévoir une dépollution avant tout rejet. Les ouvrages du réseau d’eau pluviale doivent faire l’objet d’un entretien attentionné, au risque sinon d’être contreproductifs. Le risque de pollution accidentelle doit également être caractérisé de déversement de produits chimiques, incendie. S’il est avéré, des mesures adaptées à la situation de l’installation doivent être mises en œuvre.
Le réseau d’eau pluviale : Réduit l’impact des pluies moyennes à fortes
Diminuer l’impact des pluies dans le réseau d’eau pluviale, c’est d’éviter le ruissellement des eaux et de ralentir les écoulements ; de tamponner et stocker dans des ouvrages de régulation ; d’anticiper l’aménagement de zones à inonder, en privilégiant les espaces verts. Plus spécifiquement, pour les pluies fortes et exceptionnelles qu’il n’est pas toujours possible de gérer en totalité sur l’emprise de l’aménagement, il faut réduire autant que possible les débits de fuite par des ouvrages adaptés. Il faut avant tout veiller à gérer les eaux pluviales, c’est-à-dire avec aucun rejet d’eaux pluviales à l’extérieur de l’emprise du projet. Ces eaux peuvent et doivent être infiltrées, utilisées. Sur l’emprise du projet, penser l’écoulement des eaux pluviales et limiter le parcours de l’eau de pluie doit être gérée au plus près de là où elle tombe, retirer aussi souvent que possible au réseau d’eaux usées pour privilégier une gestion sur place. Étudier la possibilité du réseau d’eau pluviale est souvent plus économique pour l’aménageur et la collectivité.
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